Eternel paysage
Clameur métonymique
Fin écho de lumière
S’enflent à pleine vue
Le grave et le fragile
Sur fond d’efficace synecdoque.
Découpe franche
Au labyrinthe des passions
Le souffle devient signe
Par imposition des mains
Sur le râble de l’arbre.
Aux écueils de la répétition
Succède le raffinement
D’angoisses programmées
Par l’accroissement mnémotechnique
Des clauses du pourvoi.
Un monde nouveau s’ouvre
Au travers des bombardements et des épidémies
Se révèle la quête inclassable
Des notes verticales
Au dévers d’une portée musicale.
L’ossature du réel
À mesure des mutations changeantes
D’un haruspice médian
Inaugure traces de poèmes
En l’éternel paysage.
Objets symboles
Les légumineuses d’Archiboldo
Cueillent et mijotent
Les simagrées de la lune
Sur fond de noir perdu.
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